Walter Jon Williams, un auteur qui a bercé la fin de mon adolescence avec des titres comme Câblé, Le souffle du cyclone ou Aristoï (je conseille particulièrement ce dernier pour son approche de la psyché humaine et les questions soulevées par l’utilisation des nanotechnologies et des organismes génétiquement modifiés). Ces derniers ouvrages (Plasma, La guerre du Plasma ou la trilogie de la Chute de l’empire Shaa) n’avait plus cette petite étincelle de génie même s’il a un grand talent d’écrivain.